Conformité, Bénin – La deuxième session du Comité de Maîtrise des Risques (CMMR) du Ministère du Travail et de la Fonction Publique, récemment tenue, a marqué une étape cruciale dans l’amélioration continue de la gestion des risques au sein de l’administration publique.
Cette rencontre, organisée en format hybride, a permis de dresser un bilan rigoureux des progrès réalisés et des défis persistants, tout en traçant les grandes lignes pour l’avenir.
Un retour sur les travaux antérieurs
Selon notre source locale, la session s’est ouverte par l’approbation du compte-rendu des travaux de la session précédente, un exercice de rétrospective essentiel pour mesurer les avancées concrètes. Les membres du comité ont évalué l’état d’avancement des décisions et recommandations émises lors de la première session, identifiant au passage les axes nécessitant encore des efforts. Cette évaluation rigoureuse s’est révélée indispensable pour ajuster les stratégies en cours et renforcer l’efficacité des mesures prises.
L’audit au cœur des préoccupations
Parmi les points majeurs à l’ordre du jour de la deuxième session figurait l’analyse approfondie des recommandations issues des audits internes et externes. Cet exercice a permis de scruter les dispositifs de gestion des risques en place, soulignant les forces et faiblesses de l’approche actuelle. Le ministère du travail et de la fonction publique s’inscrit ainsi dans une dynamique d’amélioration continue, cherchant à tirer les enseignements des audits pour renforcer la résilience de ses structures.
La session a également été consacrée à la préparation du plan de travail annuel pour l’année à venir, un document stratégique qui doit guider les actions du ministère en matière de gestion des risques. Cette projection vers l’avenir, combinée à une analyse minutieuse des succès et échecs passés, témoigne de la volonté du ministère de rester proactif et de prévenir les risques de manière anticipée.
À travers ces travaux, le CMMR continue de jouer un rôle clé dans l’accompagnement des structures du Ministère du Travail vers une résilience accrue, assurant ainsi que la gestion des risques reste au cœur des préoccupations ministérielles.